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Post-Bac
1

Mana thème 1, 2 et 3

Thème 1


Définition

Les organisations
un cadre structuré et permanent avec des ressources financière, matérielles, immatérielles et humaines = atteindre un objectif commun
La théorie des coûts de transaction
développée par Ronald Coase et approfondie par Oliver Williamson, aide à comprendre pourquoi les entreprises existent et comment elles décident de faire quelque chose elles-mêmes ou de l'acheter à quelqu'un d'autre. En termes simples, une transaction est un échange de biens, de services ou d'informations. Mais chaque transaction n'est pas gratuite : il y a des coûts associés, comme : Chercher de l'information : Trouver le bon fournisseur ou client. Négocier : Parler des prix, signer des contrats. Surveiller et vérifier : S'assurer que l'autre partie respecte l'accord.
L’internalisation
c’est quand une entreprise décide de réaliser une activité ou un processus elle-même, plutôt que de le faire faire par une autre entreprise (sous-traitance). Cela signifie "faire en interne" au lieu de "faire faire à l’extérieur".

Williamson a analyser que les contrats génèrent : les couts de prestations, les négociations, les couts de rédactions de contrats, un éloignement du prestataire (cout de traduction), cout de traduction (dans certains cas), cous de surveillance (de contrôle).

A retenir :

Internalisation : cout d’embauche, cout salariale, cout de coopération

Définition

L’asymétrie d’information
c’est quand deux parties (par exemple, un acheteur et un vendeur) n’ont pas le même niveau d’information sur quelque chose d’important. Cela peut poser des problèmes dans une transaction ou une relation d’affaires.

A retenir :

3 critères selon Williamson : la fréquence de la transaction, la spécificité des actifs (au sens comptable du terme), l’incertitude de l’environnement.

A retenir :

Selon Drucker “we should create costumers” = créer les clients, fidéliser les clients et les attirer.

A retenir :

Plusieurs types de secteurs dans les entreprises : primaire, secondaire, tertiaire.

Une catégorie particulière : les organisations publiques.

Proposent des services publics non marchands > internet général.

Il y a 3 catégories : 

  • Administration centrale
  • Administrations locales : collectivités locales. (Lycées)
  • Administration de sécurité sociale

Une catégorie particulière pour les entreprises qui est très récente : Économie Sociale et Solidaire

Des entreprises privés qui proposent des services non marchands = utilité sociale.

Définition

Un environnement
désigne tout ce qui entoure une entreprise et influence ses activités, ses décisions et ses performances. Cela inclut tout ce qui est à l’extérieur de l’entreprise, mais qui peut avoir un impact sur elle.
Le macro-environnement
c’est tout ce qui influence une entreprise de l’extérieur, mais sur quoi elle n’a aucun contrôle direct. Ce sont des forces ou des tendances générales qui touchent toutes les entreprises d’un pays ou même du monde entier.

A retenir :

Méthode PESTEL = Politique, économique, socio-culturel, technologique, écologique, légal.

> Opportunités/menaces

A retenir :

Il y a 4 grandes évolution récemment : 

  • la mondialisation
  • Les crises
  • Le numérique
  • Les risques

Définition

Le micro-environnement
c’est tout ce qui entoure directement une entreprise et a un impact sur ses activités. Contrairement au macro-environnement, l’entreprise peut souvent influencer ces éléments, car ils sont proches et liés à ses opérations.

A retenir :

Récemment, au lieu de dire “micro-environnement” on dit partenaires ou parties prenantes (PP).

Définition

Les parties prenantes
sont toutes les personnes ou groupes qui ont un intérêt ou une influence sur une entreprise, ou qui sont affectés par ses activités. Ces parties peuvent être internes (dans l’entreprise) ou externes (en dehors de l’entreprise).

PP primaire et secondaire.

Il faut prendre en compte des intérêts des PP = convergentes et divergents > cela risque de devenir un contre-pouvoir.

A retenir :

Il y a plusieurs théories sur PP :


Théorie des droits de propriété : Alchian et Demsetz.

Théorie de l’agence : Jensen et Meckling

Approches socio-politique : Cyert et March, Crozier et Friedberg.

Théorie des parties prenantes : Freeman

Le développement durable : assure les besoin de la génération actuelle mais pas la future.

> 3 dimensions de la RSE : économique + sociale + environnementale >> Évolution de la finalité de l’entreprise > finalités 

A retenir :

L’entreprise gagne en terme d’image, un élément de différenciation (un avantage concurrentiel), une nouvelle clientèle, une nouvelle activité, la finalité économique > investissement socialement responsable (des investisseurs qui mettent leur argent que dans des entreprises qui font de la RSE). 

Il y a aussi des limites : cout cher, prendre soin des salariés, les formations.

A retenir :

Selon Thiétart, l’art de conduire, diriger, planifier et contrôler une organisation.

A retenir :

4 processus : le SI > finalisation + organisation + animation + contrôle 

Il y a plusieurs types de management : management stratégique, management organisationnel et le management opération.

Il y a 3 approches : approche analytique ou école classique, systémique, collaborative.

A retenir :

L’approche analytique ou école classique : 

Le premier auteur connu c’est F.Taylor : une notion de rationalité 

Selon Taylor, l’homme n’aime pas travailler

Il faut contraindre l’homme pour qu’il puisse travailler, il met en place une méthode scientifique qui sera la première méthode de management : le OST (organisation scientifique du travail)

Cela repose sur la division horizontale du travail (découper le travail), la division verticale du travail (séparer l’exécution de la conception et le contrôle), la spécialisation des ouvriers (vont se spécialiser sur qu’une seule tache qui est simple et répétitif), le chronométrage des tâches (il faut chronométrer pour éviter les pertes de temps).

H.Ford : c’est dans le domaine de l’automobile, va organiser dans l’espace les ouvriers, suivant l’avancement du travail (en ligne). = le travail à la chaine. Il garantit le salaire minimum = 5$ par jour.

H.Fayol : un ingénieur, un modele de management pour les dirigeants. Fonction de production, fonction commerciale, fonction financière, fonction sécurité, fonction d’administration.

POCSS

Un dirigeant doit savoir organiser, commander, cordonner.

Max Weber : Il va distinguer le pouvoir et l’autorité.

Une autorité charismatique, l’autorité traditionnelle, autorité rationnelle-légale (bureaucratie) > dans l’administration, l’autorité repose sur des écrits, sur des procédures de l’Etat.

Fayol est le maitre sur les organigrammes : un subordonné doit avoir un seul chef.

A retenir :

L’approche systémique : 

Emery et Trist ont développes l’école socio-technique 

Il y a un lien holistique entre le système social et le système technique.

A retenir :

L’approche collaborative : 

La théorie évolutionniste qui a été développés par Nelson et Winter


On a une approche multi dimensionnelle du management du OBW

A retenir :

Efficacité + efficience = performance

l’efficacité est l’atteinte des objectifs 

L’efficience est le rapport entre résultat et moyens 

La performance est la pertinence

A retenir :

La performance globale est économique et financière, sociale et environnementale.

Mesuré par des indicateurs regroupés au sein de tableaux de bord (tableau traditionnel - Sloan, tableau prospectif - Norton et Koplan)

Thème 2

Définition

Un entrepreneur
une personne qui crée et dirige une entreprise en utilisant des compétences en gestion. Il ou elle prend des décisions importantes pour faire fonctionner l'entreprise de manière efficace.

A retenir :

Jb.Say : capacité à gérer des ressources + intro de nouveauté 

Knight : prise de risque afin de réaliser un profit

Shumpeter : transformation d’une idée en innovation (à apprendre)

Baumol : créativité 

Kirzner : opportunité de réalisé un profit par l’innovation ou l’imitation

A retenir :

+ de capitaux = + de risques

+ de profit = + de capitaux


A retenir :

L’entrepreneuriat : 

Acte d’entreprendre, initié par un individu, l’entrepreneur, preneur de risques et bien souvent considéré comme innovateur.

Ensemble d’activités associés à la création d’une entreprise et à son développement : croissance, internationalisation, reprise.

Définition

Le manager
prend les décisions d’allocation des ressources et tend à optimiser le fonctionnement de son organisation afin d’améliorer les performances

Il y a 5 fonctions pour Fayol :

Planification (ou Prévision), Organisation, Commandement (ou Direction), Coordination, Contrôle.

4 activités pour Thietart :

Fixer des objectifs, Organiser, Motiver, Contrôler

La ligne hiérarchique selon Peter Drucker : Clarté des rôles et responsabilités, Responsabilité à chaque niveau, Communication verticale, Coordination entre les niveaux.

A retenir :

Il y a 3 roles pour Mintzberg : interpersonnels, informationnels et décisionnels.

A retenir :

Lien entre pouvoir et la fonction de direction

3 termes proches : pouvoir, autorité, leadership.

Le terme “empowerment” = pouvoir + autorité

Le leader, va animer, motivé et influence

A retenir :

Les sources de pouvoir : Weber, Shumpeter, entreprise managériale, Crozier

Styles de direction : Lewin, Likert, Blake et Mouton, Tannenebaum et Schmidt, Hersey et Blanchard

Régulation du pouvoir : entre pouvoir et partage, coopération, responsabilité, autonomie, confiance.

La prise de décision : 

Le manager est le décideur

Un pouvoir n’est pas absolue

Selon Mintzberg : processus qui consiste à être en permanence placé devant des choix.

Melese : comportement de l’homme qui opère des choix dans une situation d’info partielle

  • consiste en choix entre plusieurs possibilités, à un moment donné
  • Doit permettre de résoudre un problème
  • Repose sur l’utilisation d’info pour comprendre le problème et étudier les alternatives possibles > processus cognitif individuel ou collectif
  • Precede toute action

A retenir :

Différents typologies de décision : 

Ansoff : essayer de classer qu’il y a des décisions plus au moins importantes

3 criteres : horizon temporelle (est ce que la décision que je prends a un impact sur la durée ?), le niveau hiérarchique du décideur (la direction général, les managers intermédiaires, exécutants etc), croiser avec le champs d’application de la décision (à qui s’applique la décision).

La création de la pyramide d’Ansoff : décisions opérationnelles, tactiques et stratégiques.

Décision oper : court terme, exécutant, petite partie de l’org

Décision tact : moyen terme, prise par les managers inter, impact sur une plus grande partie de l’org

Décision strat : long terme, directeurs, impact sur toute l’organ

A retenir :

Simon années 70 : une typologie plus moderne

2 types de décisions 

Décision programmable / modélisable : des décisions qu’il faut prendre régulièrement, qui reviennent souvent, mettre en place une méthode de calcul pour automatiser les décisions

Ex : renouvellement de stock dans un magasin

Décisions non programmables : décisions rares, on peut pas mettre en place une procédure régulière, des décisions beaucoup plus complexes

A retenir :

Approches théoriques de la décision :

Approche classique : 20eme siècle : les individus sont rationnels > celui qui décide prend la meilleure décision > décision optimale : entrepreneur = un modèle très critiqué

Simon va montrer que l’individu n’est pas rationnel, il va démontrer que la rationalité est limité.

5 points de la rationalité : 

  • l’information est imparfaite : on a jamais toutes les informations, même avec Internet
  • L’information est incertaine, elle change tt le temps. Ex : changement de monnaie 
  • Les capacités de traitement des individus sont limité, notre cerveau est limité, capacité cognitive limité
  • Les individus sont des inter dépendance : les décisions sont influencé par d’autre avis / décisions
  • Le macro environnement va influencer la décision : il faut tt prendre en compte


On va pas prendre la meilleur des décision mais la plus adaptée

Certains nombres d’étapes qui va modéliser et dire qu’il y a plusieurs étapes : IMC

Intelligence (identifier le problème), Modélisation (on va chercher pleins d’actions possibles), Choix (prendre le choix de la décision).

Simon va ajouter 2 étapes : la mise en oeuvre, le contrôle 

Théorie comportementale de la firme / théorie de la décision du décideur politique : Cyert et March

Tenir compte des groupes

Une entreprise c’est un système socio-politique 

Un manager est un arbitre 

Une décision est rarement individuelle mais toujours collective

A retenir :

Modèle de la poubelle : Cohen, March, Olsen dans les années 70

Remettre ne cause le processus décisionnel : parfois le processus ne s’applique pas et que c’est parfois au hasard.

Une décision va émerger comme si on tirait au hasard un papier dans une poubelle

La solution correspond à une situation actuelle.

C’est une rencontre au hasard d’une solution et d’une situation.

A retenir :

Un auteur français Sfez : prof de droit, certaines décisions sont non rationnelles mais qui sont pas irrationnelles : elles sont pertinentes mais c’est le hasard.

Il va parler de anarchie organisé.

On laisse aussi une part au hasard.

A retenir :

Dans tt type de décision il y a une dimension humaine, notamment pour les décisions non programmables. : prendre en compte la culture de l’entreprise

Prendre en compte les biais cognitives : nous avons tous des biais cognitives

Des interprétations fausses de la réalité, on a une info mais on l’interprète mal 

  • déforme de la réalité
  • Des préjugés 
  • Des stéréotypes (des idées fausses partagés)
  • Biais de focalisation (un décideur a tjrs une solution préféré donc il voit + les avantages que les inconvénients)
  • Biais d’optimisme (sur estime ses capacités) = illusion de contrôle 
  • Biais de mémorisation (reproduire une décision antérieure qui a marché)
  • Ancrage mentale (se fier à la premiere impression)

La dimension technique vient en deuxième : pour les décisions de probabilité 

Ces dimensions vont créer le SI = système d’info

Définition

SI
Robert Rex : ensemble de ressources qui permettent d’acquérir, de traiter, de stocker et de communiquer les informations au sein d’une entreprise. Ressources mat, immat, procédures et humains.

Le SI aujourd’hui est un système d’info d’aide à la décision (SIAD) grâce au combinaisons

Le SIAD est très performant : le big data, prendre des décisions très importantes, gérer le stock et les documents.

Le SIAD va servir à tous les services en RH, pole commercial etc

Avec l’intelligence artificiel va progresser le SIAD.


Une progression très rapide de réalité virtuelle, réalité augmentée etc.


Une prise de décision complètement autonome, même pour les décisions non programmables.

Post-Bac
1

Mana thème 1, 2 et 3

Thème 1


Définition

Les organisations
un cadre structuré et permanent avec des ressources financière, matérielles, immatérielles et humaines = atteindre un objectif commun
La théorie des coûts de transaction
développée par Ronald Coase et approfondie par Oliver Williamson, aide à comprendre pourquoi les entreprises existent et comment elles décident de faire quelque chose elles-mêmes ou de l'acheter à quelqu'un d'autre. En termes simples, une transaction est un échange de biens, de services ou d'informations. Mais chaque transaction n'est pas gratuite : il y a des coûts associés, comme : Chercher de l'information : Trouver le bon fournisseur ou client. Négocier : Parler des prix, signer des contrats. Surveiller et vérifier : S'assurer que l'autre partie respecte l'accord.
L’internalisation
c’est quand une entreprise décide de réaliser une activité ou un processus elle-même, plutôt que de le faire faire par une autre entreprise (sous-traitance). Cela signifie "faire en interne" au lieu de "faire faire à l’extérieur".

Williamson a analyser que les contrats génèrent : les couts de prestations, les négociations, les couts de rédactions de contrats, un éloignement du prestataire (cout de traduction), cout de traduction (dans certains cas), cous de surveillance (de contrôle).

A retenir :

Internalisation : cout d’embauche, cout salariale, cout de coopération

Définition

L’asymétrie d’information
c’est quand deux parties (par exemple, un acheteur et un vendeur) n’ont pas le même niveau d’information sur quelque chose d’important. Cela peut poser des problèmes dans une transaction ou une relation d’affaires.

A retenir :

3 critères selon Williamson : la fréquence de la transaction, la spécificité des actifs (au sens comptable du terme), l’incertitude de l’environnement.

A retenir :

Selon Drucker “we should create costumers” = créer les clients, fidéliser les clients et les attirer.

A retenir :

Plusieurs types de secteurs dans les entreprises : primaire, secondaire, tertiaire.

Une catégorie particulière : les organisations publiques.

Proposent des services publics non marchands > internet général.

Il y a 3 catégories : 

  • Administration centrale
  • Administrations locales : collectivités locales. (Lycées)
  • Administration de sécurité sociale

Une catégorie particulière pour les entreprises qui est très récente : Économie Sociale et Solidaire

Des entreprises privés qui proposent des services non marchands = utilité sociale.

Définition

Un environnement
désigne tout ce qui entoure une entreprise et influence ses activités, ses décisions et ses performances. Cela inclut tout ce qui est à l’extérieur de l’entreprise, mais qui peut avoir un impact sur elle.
Le macro-environnement
c’est tout ce qui influence une entreprise de l’extérieur, mais sur quoi elle n’a aucun contrôle direct. Ce sont des forces ou des tendances générales qui touchent toutes les entreprises d’un pays ou même du monde entier.

A retenir :

Méthode PESTEL = Politique, économique, socio-culturel, technologique, écologique, légal.

> Opportunités/menaces

A retenir :

Il y a 4 grandes évolution récemment : 

  • la mondialisation
  • Les crises
  • Le numérique
  • Les risques

Définition

Le micro-environnement
c’est tout ce qui entoure directement une entreprise et a un impact sur ses activités. Contrairement au macro-environnement, l’entreprise peut souvent influencer ces éléments, car ils sont proches et liés à ses opérations.

A retenir :

Récemment, au lieu de dire “micro-environnement” on dit partenaires ou parties prenantes (PP).

Définition

Les parties prenantes
sont toutes les personnes ou groupes qui ont un intérêt ou une influence sur une entreprise, ou qui sont affectés par ses activités. Ces parties peuvent être internes (dans l’entreprise) ou externes (en dehors de l’entreprise).

PP primaire et secondaire.

Il faut prendre en compte des intérêts des PP = convergentes et divergents > cela risque de devenir un contre-pouvoir.

A retenir :

Il y a plusieurs théories sur PP :


Théorie des droits de propriété : Alchian et Demsetz.

Théorie de l’agence : Jensen et Meckling

Approches socio-politique : Cyert et March, Crozier et Friedberg.

Théorie des parties prenantes : Freeman

Le développement durable : assure les besoin de la génération actuelle mais pas la future.

> 3 dimensions de la RSE : économique + sociale + environnementale >> Évolution de la finalité de l’entreprise > finalités 

A retenir :

L’entreprise gagne en terme d’image, un élément de différenciation (un avantage concurrentiel), une nouvelle clientèle, une nouvelle activité, la finalité économique > investissement socialement responsable (des investisseurs qui mettent leur argent que dans des entreprises qui font de la RSE). 

Il y a aussi des limites : cout cher, prendre soin des salariés, les formations.

A retenir :

Selon Thiétart, l’art de conduire, diriger, planifier et contrôler une organisation.

A retenir :

4 processus : le SI > finalisation + organisation + animation + contrôle 

Il y a plusieurs types de management : management stratégique, management organisationnel et le management opération.

Il y a 3 approches : approche analytique ou école classique, systémique, collaborative.

A retenir :

L’approche analytique ou école classique : 

Le premier auteur connu c’est F.Taylor : une notion de rationalité 

Selon Taylor, l’homme n’aime pas travailler

Il faut contraindre l’homme pour qu’il puisse travailler, il met en place une méthode scientifique qui sera la première méthode de management : le OST (organisation scientifique du travail)

Cela repose sur la division horizontale du travail (découper le travail), la division verticale du travail (séparer l’exécution de la conception et le contrôle), la spécialisation des ouvriers (vont se spécialiser sur qu’une seule tache qui est simple et répétitif), le chronométrage des tâches (il faut chronométrer pour éviter les pertes de temps).

H.Ford : c’est dans le domaine de l’automobile, va organiser dans l’espace les ouvriers, suivant l’avancement du travail (en ligne). = le travail à la chaine. Il garantit le salaire minimum = 5$ par jour.

H.Fayol : un ingénieur, un modele de management pour les dirigeants. Fonction de production, fonction commerciale, fonction financière, fonction sécurité, fonction d’administration.

POCSS

Un dirigeant doit savoir organiser, commander, cordonner.

Max Weber : Il va distinguer le pouvoir et l’autorité.

Une autorité charismatique, l’autorité traditionnelle, autorité rationnelle-légale (bureaucratie) > dans l’administration, l’autorité repose sur des écrits, sur des procédures de l’Etat.

Fayol est le maitre sur les organigrammes : un subordonné doit avoir un seul chef.

A retenir :

L’approche systémique : 

Emery et Trist ont développes l’école socio-technique 

Il y a un lien holistique entre le système social et le système technique.

A retenir :

L’approche collaborative : 

La théorie évolutionniste qui a été développés par Nelson et Winter


On a une approche multi dimensionnelle du management du OBW

A retenir :

Efficacité + efficience = performance

l’efficacité est l’atteinte des objectifs 

L’efficience est le rapport entre résultat et moyens 

La performance est la pertinence

A retenir :

La performance globale est économique et financière, sociale et environnementale.

Mesuré par des indicateurs regroupés au sein de tableaux de bord (tableau traditionnel - Sloan, tableau prospectif - Norton et Koplan)

Thème 2

Définition

Un entrepreneur
une personne qui crée et dirige une entreprise en utilisant des compétences en gestion. Il ou elle prend des décisions importantes pour faire fonctionner l'entreprise de manière efficace.

A retenir :

Jb.Say : capacité à gérer des ressources + intro de nouveauté 

Knight : prise de risque afin de réaliser un profit

Shumpeter : transformation d’une idée en innovation (à apprendre)

Baumol : créativité 

Kirzner : opportunité de réalisé un profit par l’innovation ou l’imitation

A retenir :

+ de capitaux = + de risques

+ de profit = + de capitaux


A retenir :

L’entrepreneuriat : 

Acte d’entreprendre, initié par un individu, l’entrepreneur, preneur de risques et bien souvent considéré comme innovateur.

Ensemble d’activités associés à la création d’une entreprise et à son développement : croissance, internationalisation, reprise.

Définition

Le manager
prend les décisions d’allocation des ressources et tend à optimiser le fonctionnement de son organisation afin d’améliorer les performances

Il y a 5 fonctions pour Fayol :

Planification (ou Prévision), Organisation, Commandement (ou Direction), Coordination, Contrôle.

4 activités pour Thietart :

Fixer des objectifs, Organiser, Motiver, Contrôler

La ligne hiérarchique selon Peter Drucker : Clarté des rôles et responsabilités, Responsabilité à chaque niveau, Communication verticale, Coordination entre les niveaux.

A retenir :

Il y a 3 roles pour Mintzberg : interpersonnels, informationnels et décisionnels.

A retenir :

Lien entre pouvoir et la fonction de direction

3 termes proches : pouvoir, autorité, leadership.

Le terme “empowerment” = pouvoir + autorité

Le leader, va animer, motivé et influence

A retenir :

Les sources de pouvoir : Weber, Shumpeter, entreprise managériale, Crozier

Styles de direction : Lewin, Likert, Blake et Mouton, Tannenebaum et Schmidt, Hersey et Blanchard

Régulation du pouvoir : entre pouvoir et partage, coopération, responsabilité, autonomie, confiance.

La prise de décision : 

Le manager est le décideur

Un pouvoir n’est pas absolue

Selon Mintzberg : processus qui consiste à être en permanence placé devant des choix.

Melese : comportement de l’homme qui opère des choix dans une situation d’info partielle

  • consiste en choix entre plusieurs possibilités, à un moment donné
  • Doit permettre de résoudre un problème
  • Repose sur l’utilisation d’info pour comprendre le problème et étudier les alternatives possibles > processus cognitif individuel ou collectif
  • Precede toute action

A retenir :

Différents typologies de décision : 

Ansoff : essayer de classer qu’il y a des décisions plus au moins importantes

3 criteres : horizon temporelle (est ce que la décision que je prends a un impact sur la durée ?), le niveau hiérarchique du décideur (la direction général, les managers intermédiaires, exécutants etc), croiser avec le champs d’application de la décision (à qui s’applique la décision).

La création de la pyramide d’Ansoff : décisions opérationnelles, tactiques et stratégiques.

Décision oper : court terme, exécutant, petite partie de l’org

Décision tact : moyen terme, prise par les managers inter, impact sur une plus grande partie de l’org

Décision strat : long terme, directeurs, impact sur toute l’organ

A retenir :

Simon années 70 : une typologie plus moderne

2 types de décisions 

Décision programmable / modélisable : des décisions qu’il faut prendre régulièrement, qui reviennent souvent, mettre en place une méthode de calcul pour automatiser les décisions

Ex : renouvellement de stock dans un magasin

Décisions non programmables : décisions rares, on peut pas mettre en place une procédure régulière, des décisions beaucoup plus complexes

A retenir :

Approches théoriques de la décision :

Approche classique : 20eme siècle : les individus sont rationnels > celui qui décide prend la meilleure décision > décision optimale : entrepreneur = un modèle très critiqué

Simon va montrer que l’individu n’est pas rationnel, il va démontrer que la rationalité est limité.

5 points de la rationalité : 

  • l’information est imparfaite : on a jamais toutes les informations, même avec Internet
  • L’information est incertaine, elle change tt le temps. Ex : changement de monnaie 
  • Les capacités de traitement des individus sont limité, notre cerveau est limité, capacité cognitive limité
  • Les individus sont des inter dépendance : les décisions sont influencé par d’autre avis / décisions
  • Le macro environnement va influencer la décision : il faut tt prendre en compte


On va pas prendre la meilleur des décision mais la plus adaptée

Certains nombres d’étapes qui va modéliser et dire qu’il y a plusieurs étapes : IMC

Intelligence (identifier le problème), Modélisation (on va chercher pleins d’actions possibles), Choix (prendre le choix de la décision).

Simon va ajouter 2 étapes : la mise en oeuvre, le contrôle 

Théorie comportementale de la firme / théorie de la décision du décideur politique : Cyert et March

Tenir compte des groupes

Une entreprise c’est un système socio-politique 

Un manager est un arbitre 

Une décision est rarement individuelle mais toujours collective

A retenir :

Modèle de la poubelle : Cohen, March, Olsen dans les années 70

Remettre ne cause le processus décisionnel : parfois le processus ne s’applique pas et que c’est parfois au hasard.

Une décision va émerger comme si on tirait au hasard un papier dans une poubelle

La solution correspond à une situation actuelle.

C’est une rencontre au hasard d’une solution et d’une situation.

A retenir :

Un auteur français Sfez : prof de droit, certaines décisions sont non rationnelles mais qui sont pas irrationnelles : elles sont pertinentes mais c’est le hasard.

Il va parler de anarchie organisé.

On laisse aussi une part au hasard.

A retenir :

Dans tt type de décision il y a une dimension humaine, notamment pour les décisions non programmables. : prendre en compte la culture de l’entreprise

Prendre en compte les biais cognitives : nous avons tous des biais cognitives

Des interprétations fausses de la réalité, on a une info mais on l’interprète mal 

  • déforme de la réalité
  • Des préjugés 
  • Des stéréotypes (des idées fausses partagés)
  • Biais de focalisation (un décideur a tjrs une solution préféré donc il voit + les avantages que les inconvénients)
  • Biais d’optimisme (sur estime ses capacités) = illusion de contrôle 
  • Biais de mémorisation (reproduire une décision antérieure qui a marché)
  • Ancrage mentale (se fier à la premiere impression)

La dimension technique vient en deuxième : pour les décisions de probabilité 

Ces dimensions vont créer le SI = système d’info

Définition

SI
Robert Rex : ensemble de ressources qui permettent d’acquérir, de traiter, de stocker et de communiquer les informations au sein d’une entreprise. Ressources mat, immat, procédures et humains.

Le SI aujourd’hui est un système d’info d’aide à la décision (SIAD) grâce au combinaisons

Le SIAD est très performant : le big data, prendre des décisions très importantes, gérer le stock et les documents.

Le SIAD va servir à tous les services en RH, pole commercial etc

Avec l’intelligence artificiel va progresser le SIAD.


Une progression très rapide de réalité virtuelle, réalité augmentée etc.


Une prise de décision complètement autonome, même pour les décisions non programmables.

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