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Lycée
Première

Lecture linéaire 1

Pour un oui ou pour un non, Nathalie Sarraute, 1982


Introduction : Conversation autour d'un problème mystérieux prise en cours.


Question : Comment mettre en scène une dispute autour d'un silence ?


Mouvement I : Doutes et interrogations (L16)

Mouvement II : Rappel d'une amitié pour se rassurer


Mouvement I

Démarrage in médias res basé sur un non dit; paradoxe dans une pièce de théâtre où tout n'est que dialogue. On sort d'une scène d'exposition habituelle par son manque de contexte (scène, actes, époque, personnage, etc.). Personnage nommé par une lettre montre a quel point ils sont interchangeable voir le même.


Ecoute (verbe à l'impératif) démarre le texte se qui montre bien qu'on arrive au milieu d'une discussion. H1 semble en effet hésitant, embarrassé, cela est marqué par les points de suspension. Installation du problème L3 avec la succession de deux phrases interrogatives où H2 répond avec 1 interrogative, chacun se renvoi le problème.


Aux hésitations marquées par les points de suspension se greffent des négations fortes (les citer), un verbe de sensation (« je sens ») et des termes vagues qui augmentent le mystère( « le »,« là», C mot? << quelque chose >»). que remplace ces mot ?


Le " tu sais bien" est une forme de persuasion.

H1 lance le thème du souvenir et du passé qui est censé les lier.


Mouvement II

Le CCT depuis tant d'années, le verbe "se souvenir", les temps du passé et la répétition de I'adverbe négatif jamais introduisent l'idée d'une amitié longue et partagée qui devrait être un gage de leur amitié profonde: les nombreux pronoms personnels sujets parfois toniques (moi/toi) sont censés les réunir. Introduction d'un personnage absent dont on rapporte les paroles au discours direct pour davantage d'impact et de persuasion: la mère de H2. Celle ci est une figure rassurante, là pour les rapprocher et avec qui on retrouve une famille très classique. Des formules similaires rapprochent alors les deux interlocuteurs: un ami sûr », « un vrai copain », « parfait », « très chic >>>>


H1 l'appel mais H2 semble être au bout du monde qui est une hyperbole et paradoxal.

Ils se parlent sans se parler avec beaucoup de non dit.


A retenir :

Un point d'ancrage semble être trouvé au point que H1 et H2 ne se distinguent plus: ils tiennent le même discours et utilisent les mêmes formules.

Lycée
Première

Lecture linéaire 1

Pour un oui ou pour un non, Nathalie Sarraute, 1982


Introduction : Conversation autour d'un problème mystérieux prise en cours.


Question : Comment mettre en scène une dispute autour d'un silence ?


Mouvement I : Doutes et interrogations (L16)

Mouvement II : Rappel d'une amitié pour se rassurer


Mouvement I

Démarrage in médias res basé sur un non dit; paradoxe dans une pièce de théâtre où tout n'est que dialogue. On sort d'une scène d'exposition habituelle par son manque de contexte (scène, actes, époque, personnage, etc.). Personnage nommé par une lettre montre a quel point ils sont interchangeable voir le même.


Ecoute (verbe à l'impératif) démarre le texte se qui montre bien qu'on arrive au milieu d'une discussion. H1 semble en effet hésitant, embarrassé, cela est marqué par les points de suspension. Installation du problème L3 avec la succession de deux phrases interrogatives où H2 répond avec 1 interrogative, chacun se renvoi le problème.


Aux hésitations marquées par les points de suspension se greffent des négations fortes (les citer), un verbe de sensation (« je sens ») et des termes vagues qui augmentent le mystère( « le »,« là», C mot? << quelque chose >»). que remplace ces mot ?


Le " tu sais bien" est une forme de persuasion.

H1 lance le thème du souvenir et du passé qui est censé les lier.


Mouvement II

Le CCT depuis tant d'années, le verbe "se souvenir", les temps du passé et la répétition de I'adverbe négatif jamais introduisent l'idée d'une amitié longue et partagée qui devrait être un gage de leur amitié profonde: les nombreux pronoms personnels sujets parfois toniques (moi/toi) sont censés les réunir. Introduction d'un personnage absent dont on rapporte les paroles au discours direct pour davantage d'impact et de persuasion: la mère de H2. Celle ci est une figure rassurante, là pour les rapprocher et avec qui on retrouve une famille très classique. Des formules similaires rapprochent alors les deux interlocuteurs: un ami sûr », « un vrai copain », « parfait », « très chic >>>>


H1 l'appel mais H2 semble être au bout du monde qui est une hyperbole et paradoxal.

Ils se parlent sans se parler avec beaucoup de non dit.


A retenir :

Un point d'ancrage semble être trouvé au point que H1 et H2 ne se distinguent plus: ils tiennent le même discours et utilisent les mêmes formules.

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