Les Rails de la mémoire, Lyon, –> chemin sinueux entre oubli et reconnaissance des persécutions
Accroche
Comment la mémoire des génocides juif et tzigane s’est-elle construite entre oubli et reconnaissance progressive ?
Définition des notions
Définition
Plan détaillé
I. Entre la mémoire et l’oubli
• Singularité des génocides longtemps mal reconnue
• Témoins peu écoutés, réparations modestes
• Impunité des criminels en Asie
• Premiers lieux de mémoire (Paris, Jérusalem)
• Lente prise de conscience via littérature et cinéma
II. Le réveil des mémoires
• Procès Eichmann (1961) : tournant
• “Fin du témoin” : disparition des survivants
• Mobilisation après la guerre des Six Jours
• Controverses en France : rôle de Vichy
• Grands procès (Barbie, Papon)
• Shoah de Lanzmann : impact et devoir de mémoire
III. Une mémoire mondiale et plurielle
• Focus sur les souffrances des victimes
• Mondialisation et américanisation de la Shoah
• Reconnaissance progressive du génocide tzigane
• Multiplication des lieux de mémoire et des commémorations
• Repentance et réparations symboliques et matérielles
Conclusion
• Bilan : Mémoire génocide juif et tsigane a évolué d'un long silence à une reconnaissance mondiale marquée par des procès, oeuvres culturelles et des lieux de mémoire
• Enjeu : Majeur face aux résurgences du négationnisme & nouveaux crimes contre l'humanité
Ouverture
→ Musée du génocide tzigane à Berlin (2022) : commémorer le génocide des Roms, soutenu et critiqué, illustrant les tensions autour de la reconnaissance publique.