L'histoire égyptienne est découpée en plusieurs périodes, les "Empires" et les "Périodes Intermédiaires". Les "Empires" sont des périodes fastueuses, contrairement aux "périodes intermédiaires" qui sont caractérisées par des périodes de désordre politique.
Les sources iconographiques et littéraires montrent une véritable attention portée à la construction d'une mémoire, surtout monarchique. Il s'agit surtout de montrer les origines mythiques (et donc divines) des Rois égyptiens. C'est une logique de légitimation de son propre règne et de rendre hommage aux précédents Rois.
L'art est ainsi utiliser comme un outil de communication de l'idéologie du pouvoir royal. Cet art a pour but de montrer la stabilité du pouvoir et non pas les changements qui peuvent survenir. On retrouve pendant les environs trois mille ans d'histoire de l'Égypte antique les mêmes codes iconographiques.
L'image du Roi massacreur, levant une arme au-dessus son ennemi est identifiable depuis l'époque de Nagada jusqu'à l'invasion romaine.
Certaines source nous prouvent pourtant qu'un classement des "bons" ou "mauvais" Rois a été fait. C'est notamment le cas sur le Papyrus Westcar, rédigé au Moyen Empire.
Le contenu de ce papyrus nous indique que Chéops aurait plutôt une mauvaise réputation à l'instar de Djoser, Snéfrou...
L'art égyptien est magique, il crée ce qu'il représente et agit dans le monde.
Il est plus analytique que réaliste. C'est-à-dire qu'il fait comprendre son caractère "aspectif". Une seule image représente plusieurs point de vue, aspects d'un même objet.
L'histoire égyptienne est découpée en plusieurs périodes, les "Empires" et les "Périodes Intermédiaires". Les "Empires" sont des périodes fastueuses, contrairement aux "périodes intermédiaires" qui sont caractérisées par des périodes de désordre politique.
Les sources iconographiques et littéraires montrent une véritable attention portée à la construction d'une mémoire, surtout monarchique. Il s'agit surtout de montrer les origines mythiques (et donc divines) des Rois égyptiens. C'est une logique de légitimation de son propre règne et de rendre hommage aux précédents Rois.
L'art est ainsi utiliser comme un outil de communication de l'idéologie du pouvoir royal. Cet art a pour but de montrer la stabilité du pouvoir et non pas les changements qui peuvent survenir. On retrouve pendant les environs trois mille ans d'histoire de l'Égypte antique les mêmes codes iconographiques.
L'image du Roi massacreur, levant une arme au-dessus son ennemi est identifiable depuis l'époque de Nagada jusqu'à l'invasion romaine.
Certaines source nous prouvent pourtant qu'un classement des "bons" ou "mauvais" Rois a été fait. C'est notamment le cas sur le Papyrus Westcar, rédigé au Moyen Empire.
Le contenu de ce papyrus nous indique que Chéops aurait plutôt une mauvaise réputation à l'instar de Djoser, Snéfrou...
L'art égyptien est magique, il crée ce qu'il représente et agit dans le monde.
Il est plus analytique que réaliste. C'est-à-dire qu'il fait comprendre son caractère "aspectif". Une seule image représente plusieurs point de vue, aspects d'un même objet.