Ailes elliptiques : courtes, larges, arrondies, avec un « aspect ratio » élevé, présentent une alule et se terminent par des échancrures (par la disposition des rémiges primaires). Ces ailes caractérisent des oiseaux au vol bien manœuvrable, permettant les déplacements aisés au sein de végétations denses. Le vol peut par contre être lent, d’où l’importance de l’alule qui permet d’augmenter la vitesse d’écoulement sur la partie dorsale de l’aile et donc d’augmenter la portance.
Cette adaptation permet donc aux oiseaux de voler à des vitesses moindres sans risque de décrochage. Si les oiseaux de ce groupe sont de mauvais planeurs, les ailes courtes permettent par contre de décoller rapidement, à faible coût énergétique, ce qui est utile pour échapper aux prédateurs. Ce type d’aile est principalement observé chez des oiseaux forestiers comme les passereaux, cailles, corneilles, etc.
Ailes pour la grande vitesse : courtes et terminées en pointe. La faible surface alaire procure une forte charge alaire à ces oiseaux, qui sont alors obligés d’avoir un battement d’aile continu. Par contre, ces ailes courtes peuvent être mues rapidement pour le vol rapide.
Ce type d’aile est trouvé chez des hirondelles, sternes, martinets, faucons, limicoles, canards, etc. Les ailes des martinets sont longues, courbes et étroites, le bras est court et la main allongée, ce qui permet des mouvements amples et vifs. La force aérodynamique semble produite à la manière des ailes delta (en rejetant un jet d’air conique en rotation à la manière d’une vis) ; le plané est aussi très rapide.
Ailes de planeur : longues et étroites avec des extrémités pointues. Ces caractéristiques confèrent un aspect ratio élevé et une charge alaire faible nécessaires aux planeurs.
Ce type d’aile produit de la poussée tandis que l’extrémité pointue permet de réduire la force de traînée durant le vol plané et donc d’économiser de l’énergie. Les longues ailes demandent cependant de dépenser plus d’énergie au décollage mais permettent par après de mieux profiter des courants aériens. Elles sont habituellement retrouvées chez les oiseaux marins.
Ailes ascensionnelles : forme intermédiaire entre les ailes elliptiques et celles pour la grande vitesse. Les grands planeurs comme vautours, condors, aigles et buses ont des ailes larges plutôt que longues. Les ailes présentent une alule et leurs extrémités sont largement échancrées par la présence des rémiges primaires. Chez ces oiseaux au vol plus lent, les rémiges des ailes vont diminuer la traînée induite.
Ces ailes ont un petit « aspect ratio » et une petite charge alaire qui permettent à certains représentants (aigles par exemple) de transporter des proies. Ce type d’aile est rencontré chez des aigles, oies, vautours, cigognes, etc.
Les manchots aux ailes raccourcies et aux plumes réduites volent vraiment sous l’eau en utilisant les mêmes principes et les mêmes mouvements que les oiseaux aériens ; l’importance de l’effort demandé pour se mouvoir dans l’eau explique le raccourcissement des bras (cubitus et radius ; le bras de levier raccourci augmente la puissance au détriment de l’amplitude et de la rapidité du mouvement). C'est le cas également des guillemots ou les eiders.
Ailes elliptiques : courtes, larges, arrondies, avec un « aspect ratio » élevé, présentent une alule et se terminent par des échancrures (par la disposition des rémiges primaires). Ces ailes caractérisent des oiseaux au vol bien manœuvrable, permettant les déplacements aisés au sein de végétations denses. Le vol peut par contre être lent, d’où l’importance de l’alule qui permet d’augmenter la vitesse d’écoulement sur la partie dorsale de l’aile et donc d’augmenter la portance.
Cette adaptation permet donc aux oiseaux de voler à des vitesses moindres sans risque de décrochage. Si les oiseaux de ce groupe sont de mauvais planeurs, les ailes courtes permettent par contre de décoller rapidement, à faible coût énergétique, ce qui est utile pour échapper aux prédateurs. Ce type d’aile est principalement observé chez des oiseaux forestiers comme les passereaux, cailles, corneilles, etc.
Ailes pour la grande vitesse : courtes et terminées en pointe. La faible surface alaire procure une forte charge alaire à ces oiseaux, qui sont alors obligés d’avoir un battement d’aile continu. Par contre, ces ailes courtes peuvent être mues rapidement pour le vol rapide.
Ce type d’aile est trouvé chez des hirondelles, sternes, martinets, faucons, limicoles, canards, etc. Les ailes des martinets sont longues, courbes et étroites, le bras est court et la main allongée, ce qui permet des mouvements amples et vifs. La force aérodynamique semble produite à la manière des ailes delta (en rejetant un jet d’air conique en rotation à la manière d’une vis) ; le plané est aussi très rapide.
Ailes de planeur : longues et étroites avec des extrémités pointues. Ces caractéristiques confèrent un aspect ratio élevé et une charge alaire faible nécessaires aux planeurs.
Ce type d’aile produit de la poussée tandis que l’extrémité pointue permet de réduire la force de traînée durant le vol plané et donc d’économiser de l’énergie. Les longues ailes demandent cependant de dépenser plus d’énergie au décollage mais permettent par après de mieux profiter des courants aériens. Elles sont habituellement retrouvées chez les oiseaux marins.
Ailes ascensionnelles : forme intermédiaire entre les ailes elliptiques et celles pour la grande vitesse. Les grands planeurs comme vautours, condors, aigles et buses ont des ailes larges plutôt que longues. Les ailes présentent une alule et leurs extrémités sont largement échancrées par la présence des rémiges primaires. Chez ces oiseaux au vol plus lent, les rémiges des ailes vont diminuer la traînée induite.
Ces ailes ont un petit « aspect ratio » et une petite charge alaire qui permettent à certains représentants (aigles par exemple) de transporter des proies. Ce type d’aile est rencontré chez des aigles, oies, vautours, cigognes, etc.
Les manchots aux ailes raccourcies et aux plumes réduites volent vraiment sous l’eau en utilisant les mêmes principes et les mêmes mouvements que les oiseaux aériens ; l’importance de l’effort demandé pour se mouvoir dans l’eau explique le raccourcissement des bras (cubitus et radius ; le bras de levier raccourci augmente la puissance au détriment de l’amplitude et de la rapidité du mouvement). C'est le cas également des guillemots ou les eiders.