Bilan 1:
Population à petit effectif :
diversité des allèles instable et imprévisible d’une génération à l’autre : c’est la dérive génétique.
Population à grand effectif :
diversité des allèles stable d’une génération à l’autre, chaque allèle est peu menacé de disparition à court terme.
La fréquence d’un allèle au sein de tous les génotypes d’une population est appelé fréquence allélique. L’évolution de la fréquence des allèles dans la population comprend une part de hasard, on parle de dérive génétique.
Plus les effectifs de la population sont faibles, plus la dérive génétique est marquée.
Bilan 2:
Au sein d’une population, il existe des différences génétiques entre les individus. Le milieu de vie exerce une pression sur les organismes.
Cette pression favorise certains individus de la population : meilleure survie, meilleure reproduction ; et les allèles portés par ces individus. Ceux ci pourront donc avoir une descendance plus nombreuse. Les allèles deviendront alors plus fréquents à la génération suivante : c’est la sélection naturelle.
Bilan 3:
La communication dans le monde vivant consiste en la transmission d'un message entre un organisme émetteur et un organisme récepteur. Le message peut modifier le comportement de l'organisme récepteur.
La communication sert de fonction biologique : la nutrition, la reproduction, la défense...Il existe une grande diversité de modalités de communication (chimique comme les molécules odorantes des thyms), sonore (chant des grillons), visuelle (couleur des plumes)...
La communication dans le monde vivant consiste en la transmission d'un message entre un organisme émetteur et un organisme récepteur. Le message peut modifier le comportement de l'organisme récepteur. Quand les individus ont une vie solitaire, la communication permet notamment le rapprochement des mâles et des femelles et l'éloignement des concurrents. Quand les individus ont une vie en société, la communication peut permettre également de choisir le partenaire le plus performant ou d'établir une hiérarchie.
La sélection sexuelle correspond à une sélection des partenaires. Elle est majoritairement faite par les femelles qui choisissent certains mâles. Cette sélection est à l'origine des dimorphismes sexuels, les mâles ayant des caractères particuliers qui peuvent les rendre vulnérables (ex : les longues plumes du paon qui gênent le vol, couleurs bien visibles, production de sons...) Des difficultés dans la réception du signal peuvent générer sur le long terme un isolement reproducteur entre organismes de la même espèce.
Toutes les populations se séparent en sous population au cours du temps à cause de facteurs environnementaux (séparation géographique) ou génétiques (mutations conduisant à des incompatibilités). Cette séparation est à l'origine de la spéciation
Bilan 1:
Population à petit effectif :
diversité des allèles instable et imprévisible d’une génération à l’autre : c’est la dérive génétique.
Population à grand effectif :
diversité des allèles stable d’une génération à l’autre, chaque allèle est peu menacé de disparition à court terme.
La fréquence d’un allèle au sein de tous les génotypes d’une population est appelé fréquence allélique. L’évolution de la fréquence des allèles dans la population comprend une part de hasard, on parle de dérive génétique.
Plus les effectifs de la population sont faibles, plus la dérive génétique est marquée.
Bilan 2:
Au sein d’une population, il existe des différences génétiques entre les individus. Le milieu de vie exerce une pression sur les organismes.
Cette pression favorise certains individus de la population : meilleure survie, meilleure reproduction ; et les allèles portés par ces individus. Ceux ci pourront donc avoir une descendance plus nombreuse. Les allèles deviendront alors plus fréquents à la génération suivante : c’est la sélection naturelle.
Bilan 3:
La communication dans le monde vivant consiste en la transmission d'un message entre un organisme émetteur et un organisme récepteur. Le message peut modifier le comportement de l'organisme récepteur.
La communication sert de fonction biologique : la nutrition, la reproduction, la défense...Il existe une grande diversité de modalités de communication (chimique comme les molécules odorantes des thyms), sonore (chant des grillons), visuelle (couleur des plumes)...
La communication dans le monde vivant consiste en la transmission d'un message entre un organisme émetteur et un organisme récepteur. Le message peut modifier le comportement de l'organisme récepteur. Quand les individus ont une vie solitaire, la communication permet notamment le rapprochement des mâles et des femelles et l'éloignement des concurrents. Quand les individus ont une vie en société, la communication peut permettre également de choisir le partenaire le plus performant ou d'établir une hiérarchie.
La sélection sexuelle correspond à une sélection des partenaires. Elle est majoritairement faite par les femelles qui choisissent certains mâles. Cette sélection est à l'origine des dimorphismes sexuels, les mâles ayant des caractères particuliers qui peuvent les rendre vulnérables (ex : les longues plumes du paon qui gênent le vol, couleurs bien visibles, production de sons...) Des difficultés dans la réception du signal peuvent générer sur le long terme un isolement reproducteur entre organismes de la même espèce.
Toutes les populations se séparent en sous population au cours du temps à cause de facteurs environnementaux (séparation géographique) ou génétiques (mutations conduisant à des incompatibilités). Cette séparation est à l'origine de la spéciation